Ce basculement attendu et bien préparé par le réalisateur nous amène forcément à nous intéresser à la vraie star du film : Caesar le chimpanzé ! Sans vouloir médire du talent des vedettes James Franco et Freida Pinto, il faut bien reconnaître qu’ils se font éclipser par leurs partenaires primates. Le film est aussi, avant tout, l’histoire de l’évolution de Caesar, qui embrasse par accident un destin mêlant la prise de conscience de sa propre nature, et l’insurrection politique violente, appliquée pour la première fois par une espèce non-humaine. Caesar, c’est en quelque sorte Spartacus, Jésus et Che Guevara version chimpanzé !
En parallèle à l’histoire de Will, Caesar va passer par différents stades. Animal de laboratoire promis à la mort ; puis gentille peluche domestiquée ; puis animal de compagnie ; puis «fils-frère» de substitution aux yeux de Will et de Charles… le jeune chimpanzé découvrira douloureusement sa vraie nature. La mise en scène de Rupert Wyatt le fait passer d’une prison à une autre, jouant sur l’enfermement permanent du personnage. On le découvre ainsi au fond du «clapier» où sa mère l’a mis au monde ; on le suit, enfant, puis adolescent, évoluant dans la paisible maison des Rodman, de la cave au grenier où il est «assigné à résidence» ; même les ballades bucoliques dans la grande forêt de séquoias de Muir Woods (familière aux cinéphiles depuis VERTIGO), qui offrent à Caesar enfin un peu de liberté, seront aussi un rappel de sa condition d’«esclave» animal destiné à être remis en cage : le collier et la laisse, la réaction apeurée des passants… Le coup de grâce de cet état d’enfermement étant l’humiliante «détention» finale au refuge pour grands singes, où Caesar comprend enfin la vérité sur sa propre nature, avec amertume et colère. Il est frappé par la brutalité de ses congénères d’infortune, mais plus encore bouleversé par la découverte de la duplicité humaine – représentée par l’abandon de Will à ses nouveaux geôliers. Désemparé, il se heurte à un faux horizon ensoleillé (la Nature asservie et «truquée» par l’Homme), et dessine dans sa cage la fenêtre de sa maison d’enfance. Un dessin qu’il effacera, geste radical exprimant son acceptation définitive de singe doué de conscience… Quand la révolte a bien lieu, l’évasion de Caesar et ses alliés est une véritable libération, physique et spirituelle, du joug de l’Homme. La dernière image, assez poétique, montrant les Singes dominer San Francisco depuis les arbres de Muir Woods, sonne comme la conclusion logique du parcours de notre chimpanzé «mutant».
Le parcours de Caesar est aussi messianique, de façon parfois évidente, et parfois dissimulée, avec assez d’intelligence de la part du réalisateur pour faire passer l’idée, sur le papier absurde, d’un «Messie» libérateur du Peuple Singe ! Les aspects messianiques sont clairement émis dès le départ, avec l’idée de cette maman guenon, défendant son nouveau-né jusqu’à la mort. On ne saura jamais qui est le père de Caesar, et seul compte l’amour maternel, une sorte de «Nativité» à l’état primitif, qui se termine tragiquement pour «Beaux Yeux». Caesar n’est donc pas élevé par ses vrais géniteurs, mais par une famille inattendue, le recueillant à la façon d’un Moïse sauvé des eaux… Pour souligner un peu plus l’aspect «prophétique messianique» de Caesar, rappelons que Will sauve ce dernier d’un véritable «Massacre des Innocents» décrété par la firme pharmaceutique. Rappel grinçant et bien vu des origines d’un Moïse ou d’un Jésus, qui faillirent être tués dès leurs naissances, sur ordre de Pharaon ou d’Hérode ! Durant son évolution, Caesar aura donc découvert le double visage de l’espèce humaine, Jekyll (l’homme civil, courtois, éduqué, mais réprimé) séparé de Hyde (le double bestial, sauvage et incontrôlé… le «Singe» qui vit caché en l’Homme). Elevé avec affection et tendresse, le jeune singe éprouve un amour filial sincère pour Charles, au point de le défendre violemment contre l’irascible voisin qui ne comprend pas la maladie du vieil homme. Caesar comprend aussi la notion d’amour, jouant les «Cupidons» dans l’idylle entre Will et la jolie vétérinaire Carlie. Mais, élevé parmi les hommes, il est donc porté à croire naturellement qu’il est comme eux, et ne comprend pas les réactions de peur et d’hostilité instinctive à son égard, pas plus chez l’Homme que chez le Singe…
Caesar fait l’apprentissage, malgré lui, de cette violence innée chez l’Homme. En sous-main, je pense que les scénaristes et le réalisateur en ont profité pour livrer un message grinçant sur la part animale qui demeure en nous, malgré des millénaires d’évolution et de civilisation. Nous nous considérons toujours comme le summum de l’évolution, l’espèce «supérieure» habilitée par un supposé don divin à régner sur l’ensemble des animaux… ceci alors même que la science nous montre un peu plus chaque année que nous sommes beaucoup plus proches des grands primates que nous le croyons. L’humain est une espèce animale terriblement orgueilleuse, et n’a absolument pas envie – pour le moment du moins – de renoncer à son «privilège» de dominant… et elle n’en est sans doute que plus névrosée ! Rupert Wyatt brocarde ici cette attitude typique de l’homme moderne, spécialement celui des sociétés occidentales ; on s’imagine intelligent, sociable, maître de ses émotions en toute circonstance… mais il suffit qu’un petit rien se produise – comme la présence d’un singe apprivoisé dans les parages – pour que nos vieux instincts agressifs, profondément enfouis, surgissent et nous fassent agir de façon totalement irrationnelle ! Dans le film, c’est l’attitude du voisin des Rodman : un pilote de ligne, américain moyen bien tranquille, père de famille confortablement installé dans sa routine quotidienne, qui «disjoncte» dès lors que Caesar s’aventure à l’extérieur, ou que Charles, malade, s’empare de sa voiture. «Monsieur Tout-le-Monde» cède à la panique, à la colère excessive et animale, pour des motifs absurdes – sans doute un réflexe conditionné par la pensée sécuritaire du «Pensez à nos enfants», induit par les médias ou les politiciens de son époque. Et malheureusement, les lois de la société lui donnent raison sur le Singe, qui, lui, n’est qu’«animalité» et ne s’en porte pas plus mal ! Autre personnage peu reluisant décrit dans le film : le fils du gardien du refuge, un petit chefaillon qui déteste son boulot ; véritable gardien de camp de concentration, il profite de son petit pouvoir sur les pensionnaires pour les humilier et les brutaliser. Tout est bon pour lui, même pour se valoriser de façon minable devant des petites amies potentielles… Mal lui en prendra de «défouler» ses instincts primaires sur le mauvais singe, au mauvais endroit et au mauvais moment. Quoi qu’il en soit, Caesar, en découvrant l’intolérance chevillée à l’âme et au corps des humains, réalisera ainsi toute l’ambiguïté du caractère de l’Homo Occidentalis Paranoïdus, une espèce pas aussi «Sapiens» qu’elle ne veut le croire !
Ces mauvais traitements répétés le poussent donc à la révolte. Mais pour arriver à cela, Caesar doit aussi apprendre un fait inédit pour lui : l’usage du pouvoir et de la politique. Les scénaristes posent d’emblée le nouvel enjeu pour notre singe vedette, lorsqu’il se retrouve enfermé avec ceux de son espèce. L’éducation «humaine» de Caesar le marginalise : trop «singe» pour être traité dignement parmi les hommes, il est aussi trop «homme» pour être accepté par ses nouveaux congénères ! En tête desquels un chimpanzé «Mâle Alpha», Rocket, qui voit en lui un rival à éliminer. Caesar doit donc lutter pour s’imposer comme le nouveau caïd de la prison… situation faisant écho, ironiquement, au destin de l’astronaute Taylor (Charlton Heston), qui devait aussi se faire respecter dans la cage de ses congénères humains «animalisés», dans le film original !
L’intelligence de Caesar, transmise génétiquement par sa mère via le fameux virus/sérum, le sauve. Grâce à elle, il met en place toute une tactique de stratégie politique au sein même du refuge. Dans la cage, il n’y a pas d’élections primates ; c’est le plus malin et le plus fort qui l’emporte ! Le langage des gestes, enseigné par les humains (comme dans le cas historique de la guenon Washoe, capable d’utiliser un langage élaboré et intelligent, dans les années 1970), permet à Caesar de se trouver un premier allié dans la place : Maurice, un orang-outang aussi intelligent que faussement débonnaire, ancienne «star» du cirque (comme Clyde, l’orang mal élevé qui suivait Clint Eastwood dans les DOUX, DUR ET DINGUE !) et qui maîtrise ce langage. Maurice devient ainsi l’allié et le conseiller politique attitré de Caesar. Ce dernier met à profit son intelligence accrue pour s’assurer d’un second allié, de poids, le gorille Buck. Un colosse peu commode dont Caesar s’assure l’aide pour prendre le dessus sur Rocket. Une démonstration de ruse politico-militaire où Caesar mérite bien son nom, assurant son autorité grâce à la présence «répressive» de Buck. Et voilà comment les scénaristes recréent finement le rapport des forces politiques décrites dans le film original : Caesar comprend l’utilité du fameux sérum et le distribue aux autres singes, devenant du coup le premier chimpanzé scientifique (comme Cornelius et Zira dans le film de Schaffner), le gorille représentant la future force militaro-policière et l’orang-outang le politicien plein de ruse ! Wyatt et ses scénaristes poussent le bouchon jusqu’à montrer une scène de discussion politique entre Caesar et Maurice, le premier montrant au second la nécessité pour les singes de s’unir face à leurs oppresseurs, en se servant de brindilles. Une seule peut casser, mais un assemblage de brindilles est indestructible… Caesar vient de recréer la politique de son homonyme humain, s’appuyant sur un système similaire à base de «faisceaux», politiques comme militaires. Il a réinventé le fascisme ! Ce qui, soit dit en passant, ne rassure pas quant à l’évolution future de la société des singes (telle qu’elle est d’ailleurs décrite chez Schaffner comme chez Burton). Et les humains pourront légitimement craindre le pire pour leur avenir, quand, à la faveur d’une nuit estivale*, Caesar libère ses «camarades» opprimés…
* rien ne prouve que l’action se déroule en été. C’était seulement pour justifier le jeu de mots shakespearien, au début de cet article !
Le dernier acte du film, qui voit la «lutte finale» monter en puissance jusqu’à son paroxysme, déçoit quelque peu en comparaison des thèmes passionnants évoqués en amont. Il va sans dire que Rupert Wyatt a dû se plier aux exigences des producteurs de la Fox, et livrer des scènes plus conventionnelles de destructions massives et d’effets visuels spectaculaires. On peut aussi s’étonner de voir soudainement le nombre de protagonistes simiesques décupler soudainement, sans raison (d’où sortent ces nouveaux orangs et gorilles ?). Sans doute le jeune réalisateur a-t-il dû accepter des réécritures de dernière minute l’obligeant à limiter le côté provocateur de son propos, au détriment du grand spectacle «badaboum». Cela étant dit, ces séquences restent assez réussies ; elles nous rappellent que les chimpanzés, par exemple, ne sont pas d’espiègles boules de poils à l’état naturel… nos proches cousins ont une très grande part de violence innée qui peut «exploser» à l’occasion, et explique sans doute l’effroi qu’ils provoquent chez certaines personnes : morsures, coups violents qui peuvent briser un crâne humain… à l’état sauvage, ils font preuve d’une intelligence tactique digne des loups, et peuvent tuer sans remords d’autres singes, même ceux de leurs espèce, pour les manger à l’occasion. Le mythe du «gentil» chimpanzé en prend un coup dans la réalité, et RISE… ne fait finalement que renchérir, par la fiction, sur ce fait.
En exagérant un peu, et en restant dans la lecture «sociale» de l’univers de LA PLANETE DES SINGES, on peut voir dans ces scènes de combat une forme d’expression de révolte contre le pouvoir en place, qu’il soit celui des forces de police ou des grandes compagnies néolibérales. Le choc de l’instinct «sauvage», primal, réprimé, contre les détenteurs du pouvoir d’une «civilisation» oppressive en train de s’effondrer. Ou bien, si l’on préfère ne pas aller dans des raisonnements politico-sociaux trop pointus, on peut légitimement se réjouir de la «punition des méchants» propre à toute fable (ce que sont aussi les films de cette saga), et applaudir la bravoure et la ruse tactique des troupes de Caesar contre leurs ennemis : allez les singes, «Let’s Go Ape» ! Un retournement de situation assez bien mené par Wyatt, qui trouve son apogée inquiétante avec les scènes finales : notre irascible voisin pilote de ligne, part malade au travail, répandant sans le savoir le virus qui va causer la perte de l’Humanité. C’est à la fois une référence aux cas d’épidémies de type SRAS et grippe aviaire, et un clin d’œil à un autre film de science-fiction : un virus artificiel est créé, il se répand depuis un aéroport… et douze singes ont été tués au début de l’histoire. Cela ne vous rappelle pas certain film avec Bruce Willis et Brad Pitt ?
Terminons en saluant le solide travail de mise en scène soigné par Rupert Wyatt. Il est encore difficile de dire si le réalisateur anglais est un auteur à part entière ; il faudrait découvrir THE ESCAPIST, pour l’instant invisible en France, il me semble, avant d’émettre un jugement définitif. Wyatt trouve cependant de bonnes idées et ne sacrifie pas son récit aux profits des seuls effets. Il «domestique» ceux-ci au profit du film, délivrant des moments inspirés (les scènes à Muir Woods), nerveux (les orangs outangs se propulsant sous le Golden Gate, tels des «gibbons dans la brume»), inventifs (le plan-séquence de Caesar voltigeant dans la maison jusqu’à sa fenêtre, les arbres agités par la «vague» de singes…). Wyatt s’est bien amusé, par ailleurs, à glisser dans cette Planète des Singes version 2011, une ribambelle de petits cadeaux cachés à l’intention des nostalgiques de la saga. Le grand Charlton Heston n’est ainsi pas oublié, faisant une apparition dans une scène de L’EXTASE ET L’AGONIE diffusé sur un écran de télé ; les noms de plusieurs personnages sont autant de clins d’œil adressés aux connaisseurs (tels Jacobs, supérieur de Will, ainsi nommé en référence au producteur Arthur Jacobs ; Maurice l’orang-outang, qui doit le sien à Maurice Evans, alias le «bon» Docteur Zaius qui s’en prenait à Charlton ; ou encore Cornelia, «fusion» des chimpanzés Cornelius et Zira… c’est aussi le nom de la deuxième épouse de Jules César !) ; les références à une mission spatiale portée disparue dans l’espace ; et d’autres allusions déguisées aux différents films : la scène d’ouverture, reprenant en sens inverse la célèbre scène de chasse à l’homme du film de Schaffner ; les cages et les expériences médicales ; l’image de Caesar utilisant un cheval et une arme à feu ; et les répliques cultes astucieusement placées ; tout y est ou presque… y compris une Statue de la Liberté en miniature !
Wyatt est par contre moins heureux dans le choix de sa musique ; si Jerry Goldsmith avait trouvé un ton surprenant en 1968 pour le film de Schaffner, à base de percussions tribales et atonales, et si Danny Elfman avait su trouver le son épique à souhait pour son ami Burton dans la version de 2001, Wyatt a moins de chance avec son compositeur… Patrick Doyle est un musicien habituellement doué, auteur de partitions élégantes pour les films shakespeariens de Kenneth Branagh (HENRY V, BEAUCOUP DE BRUIT POUR RIEN…), et a signé de superbes musiques de film noir pour les classiques CARLITO’S WAY (L’IMPASSE) et DONNIE BRASCO avec Al Pacino ; il est moins à son aise dans les superproductions récentes, sacrifiant tout à des partitions aux synthétiseurs «à la Hans Zimmer» se contentant de souligner l’action, déjà très chargée en effets sonores… plus embarrassant ici, Doyle «recycle» des pans de sa propre partition précédente, la musique du film THOR, sans y apporter une mélodie identifiable et adaptée.
Bien sûr, l’atout numéro 1 de RISE OF THE PLANET OF THE APES reste les singes eux-mêmes. Les temps ont changé depuis les maquillages, simples mais efficaces, de John Chambers sur le film original, et depuis ceux, plus élaborés (et discrètement renforcés d’effets numériques), du maître Rick Baker pour le film de Tim Burton. Les progrès réalisés en numérique, via la «motion capture» et la «performance capture» nous offrent désormais des singes plus réalistes dans leur aspect et leurs actions. Les acteurs humains ne sont cependant pas oubliés, puisqu’ils fournissent la «matière première» : leur jeu, leur regard et leur présence physique, avant que les informaticiens de Weta Digital (la firme créée par Peter Jackson, celle du SEIGNEUR DES ANNEAUX, KING KONG version 2005, AVATAR et bientôt TINTIN) ne prennent le relais. Le résultat final est bluffant : il suffit de quelques secondes d’adaptation avant de «croire» en la réalité de Caesar, Maurice, Buck et tous les autres. Saluons au passage l’étonnante performance «capturée» de l’acteur Andy Serkis, véritable pionnier de cette nouvelle technique. On peut certes apprécier Serkis, excellent acteur «au naturel» évoquant Peter Lorre, dans la scène d’ouverture du troisième SEIGNEUR DES ANNEAUX, en cuistot grincheux dans KING KONG ou en doucereux homme de main dans LE PRESTIGE ; mais ce sont ses performances «numériques» habitées par son jeu qui ont fait sa célébrité. Après avoir été Gollum dans LE SEIGNEUR…, puis être entré par la grande porte du monde des primates au cinéma, en incarnant le Roi Kong en personne, Serkis campe ici un Caesar nuancé, tour à tout émouvant ou inquiétant. Et il ne s’arrêtera pas là, incarnant pour très bientôt le Capitaine Haddock du TINTIN de Spielberg qui arrive à l’horizon. Ceci étant bien sûr une autre histoire, sur laquelle nous reviendrons fin octobre.
Bien écrit, pas totalement maîtrisé mais solidement réalisé, RISE OF THE PLANET OF THE APES est une bonne surprise estivale. On s’amuserait presque à deviner, dans le générique final, que Caesar ne va pas en rester là, et que, d’ici le prochain film, il va rassembler toutes les espèces simiesques opprimées à travers le monde : des bonobos bonasses, de gibbeux gibbons, des babouins babillards, de mégoteurs magots, des saïmiris samouraïs, de langoureux langurs, des vervets véloces et autres mandrills mandarins appelés à renforcer ses légions contre ces SALES MAUDITS HUMAINS !
(featurette / making of)
La note :
… (Bruit de fusil chargé. Edgar Allan Pongo est revenu.)
… Je change ma note, de mon plein gré et sans la moindre contrainte :
Ludovic Fauchier, inscrit à l’UMP (Union du Mouvement Primate)…
La Fiche Technique :
RISE OF THE PLANET OF THE APES / La Planète des Singes : Les Origines
Réalisé par Rupert WYATT Scénario de Rick JAFFA & Amanda SILVER, inspiré du roman « La Planète des Singes » de Pierre BOULLE
Avec : James FRANCO (Will Rodman), Freida PINTO (Caroline «Carlie» Aranha), John LITHGOW (Charles Rodman), Brian COX (John Landon), Tom FELTON (Dodge Landon), David OYELOWO (Steven Jacobs), Tyler LABINE (Robert Franklin), Jamie HARRIS (Rodney), David HEWLETT (Hunsiker), Ty OLSSON (Chef John Hamil)
Les Singes : Andy SERKIS (Caesar), Karin KONOVAL (Maurice), Terry NOTARY (Rocket / Bright Eyes – VF : Beaux Yeux), Richard RIDINGS (Buck), Christopher GORDON (Koba), Devyn DALTON (Cornelia), Jay CAPUTO (Alpha), Richard DARWIN (Bébé Caesar) Produit par Peter CHERNIN, Dylan CLARK, Rick JAFFA, Amanda SILVER et Kurt WILLIAMS (Chernin Entertainment / Dune Entertainment / 20th Century Fox Film Corporation) Producteur Exécutif Thomas M. HAMMEL
Musique Patrick DOYLE Photo Andrew LESNIE Montage Conrad BUFF IV et Mark GOLDBLATT Casting Heike BRANDSTATTER, Coreen MAYRS et Debra ZANE
Décors Claude PARE Direction Artistique Helen JARVIS, Dan HERMANSEN et Grant VAN DER SLAGT Costumes Renée APRIL
1ers Assistants Réalisateurs Pete WHYTE et Matthew DUNNE Réalisateur 2e Équipe Mark VARGO Cascades Terry NOTARY Mixage Son David HUSBY Design Sonore et Montage Son Chuck MICHAEL
Effets Spéciaux Visuels Joe LETTERI, Dan LEMMON et R. Christopher WHITE (Weta Digital / Atomic Arts / Halon Entertainment / Pixel Liberation Front / Soho VFX) Effets Spéciaux de Maquillages Bill TEREZAKIS (WCT Productions) Création Générique THE PICTURE MILL / SCARLET LETTERS
Distribution USA et INTERNATIONAL : 20th Century Fox Film Corporation Durée : 1 heure 45
Caméras : Arricam LT et Arriflex 435
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